Si la mère au foyer est un modèle en cours d'extinction (ah oui ?), les pères et mères qui travaillent culpabilisent souvent de laisser leur progéniture.
Mais pourtant, Mesdames et Messieurs, en matière de relation, ce n'est pas la quantité, mais la qualité qui prime. Encore faut-il se laisser le temps de cette qualité.
Rudolph Schaffer nous le dit depuis le début des années 80's. Il vaut mieux avoir une mère épanouie qui rentre du travail qu'une mère aigrie ou non accomplie qui reste à la maison. Travaux de Yudkin et Holme à l'appui, il nous dit bien que les parents qui travaillent offriraient plus d'indépendance et moins d'anxiété à leurs enfants...
Et d'ailleurs, puisqu'on en parle, ce n'est pas de la mère dont il est question, mais de celui ou celle dans le couple qui prend soin de l'enfant, femme ou non.
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